Décidémment toi ! Tu comprends tous les textes Merci encore

je suis d'accord avec le vison

pas pour le ciel orange, je pense que c'est plus fort
et avec le campari etc je vois plus l'alcool que le tourbillon de la vie

Peut-être un mélange des deux !

pour le soleil assis d el autre côté de la mer je pensais à l'image soleil cad bonheur (perdu donc passé) de son amour passé keren anne qui vit de l autre côté de la mer ou de l océan sur l autre continent

et Paris qu'il regagne à la nage difficilement après une échappée de l autre côté de la mer difficile retour à sa vie présente à Paris

le ciel orange y a qu'à voir le ciel orange de la photographie de l album ça ressemble à un lever ou coucher de soleil des pays tropicaux

elisasnatch a écrit:

pour le soleil assis d el autre côté de la mer je pensais à l'image soleil cad bonheur (perdu donc passé) de son amour passé keren anne qui vit de l autre côté de la mer ou de l océan sur l autre continent

je pense pas forcément à cette histoire précisément mais l'idée de quelqu'un qui serait par delà la mer au moment où il écrit en effet

moi le soleil orange me fait toujours penser au soleil rouge des pays bas

ahouiiiiiiii

c'est marrant mais je trouve qu'il y a vraiment beaucoup d'échos aux précédents dans la superbe, est ce dû à la patte bbienne ? au fait qu'en 22 titres y a pluss de chances que ça se produise ? est ce volontaire ?

au moins on est pas destabilisé par rapport à ses précédents albums ! (et toc )

t'es bête

julien a écrit:

moi le soleil orange me fait toujours penser au soleil rouge des pays bas

J'avoue penser un peu à ça à l'écoute aussi

Très fort !

Citation :

sous le ciel qui flambe au pays du roi des cons

Le sous suggère quand même une menace, non ? Une chose qui pèse ? Un contre-pouvoir en gestation ? Et qui se confondrait, aussi, avec l'idée d'un incendie lié à des émeutes ?

Oui, c'est bien sous le ciel et pas dans le ciel qui flambe... Ça fait une petite différence, je trouve.

Ailleursetici a écrit :

Citation :

Si j'étais plus superstitieuse que je ne le suis, je dirais que le ciel qui flambe a un parfum d'apocalypse

C'est vrai que c'est un peu l'effet que ça fait... mais le terme "apocalypse", à priori, ça renvoit à la fin du monde. La référence précise...

Citation :

pays du rois des cons

... semble donc exclure cette hypothèse, non ?

très belle interprétation ce rouge dilué

Citation :

on reste dieu merci à la merci d'un engrenage
d'un verre de Campari, du bon vouloir de l'équipage
Paris est si petit quand on le regagne à la nage

Je reste fasciné par ce passage... que je ne peux m'empêcher de relier à un élément précis : la carrière de BB. Je m'explique...

"... à la merci d'un engrenage..." pourrait faire allusion aux qualités d'auteur-compositeur de BB, reconnues par de plus en plus d'interprètes, qui le sollicitent. C'est le début d'une certaine notoriété, l'engrenage du succès.
"... d'un verre de Campari..." pourrait représenter la réussite artistique fêtée à sa juste mesure...
"... du bon vouloir de l'équipage..." est pour moi une allusion à la reconnaissance de BB auteur-compositeur-interprète par le public, le bateau représentant le monde.
"... Paris est si petit quand on le regagne à la nage..." Phrase magnifique, magique qui figure Paris comme une cité lacustre. Bon, "Trash Yéyé" est sorti depuis quelques mois. Après tant d'années de contrat, EMI le lâche. BB est libre, certes, mais il lui faut tout reconstruire. Par certains côtés, c'est comme s'il repartait de zéro, livré à lui-même, en plein océan. Et il commence à nager. Il construit, pied à pied, cet album, avec, en perspective, le retour. "... si petit..." : si loin. Et les mois passent, le rapprochant du moment où tout se jouera à nouveau.

On connaît la suite. Avec son incroyable culot, BB songe à nouveau a un double. Sans doute parce que l'univers enfoui en lui est trop riche, trop dense pour pouvoir se plier à la forme convenue de 12 titres mis bout à bout au petit bonheur. Ce sera un véritable concept-album où il convoquera chacun de ses démons pour une formidable danse de sabbat. Façon, peut-être, au travers d'une auto-fiction musicale, de présenter, en crypté, une petite partie de cette autobiographie dont il repousse l'idée de publication depuis de longs mois. Résultat : une signature chez Naïve, une quinte flush royale, Paris à ses pieds. Quelle aventure !

Allez-y ! J'attends le lancer, inévitable, de tomates...

Sympa ces intérprétations !

moi je vais t'en lancer pour ne jamais poster tes interprétations dans le sujet ad hoc

Citation :

on reste dieu merci à la merci d'un engrenage
d'un verre de Campari, du bon vouloir de l'équipage
Paris est si petit quand on le regagne à la nage

et pourquoi l'idée de l'alcool est abandonné ?
c'est celle qui me parait le plus juste

l'engrenage étant l'addiction

Oui,moi aussi celle de l'alcool me semble la plus logique

Emilie a écrit :

Citation :

C'est une chouette interprétation, y a ptetre un peu de ça mais ça ne peut pas totalement être ça car ce passage faisait déjà partie de la version chantée avec Virginie Ledoyen pour "Voyage au bout de la rue". Sachant que le DVD était sorti en juin 2007, plusieurs mois après la diffusion TV, ça a donc été écrit au plus tard en 2006, soit bien avant que Virgin ne le lâche.

Ok. J'remballe.

En y pensant,A L'origine et Sans Viser Personne sont assez similaires dans le fond. Le coup de comparer un peu le passé et le présent

peut être

sans relire je dirais qu'il y a tout de même une dimension en pluss dans sans viser personne , avec l'accusation détournée